Vie de l'entreprise

La formation professionnelle : un acte citoyen

Alors que tous bataillent contre le fléau du chômage chez les jeunes, la formation professionnelle resurgit.

En écornant son image et en ne l’invitant plus au débat national, elle n’a plus obtenu le succès espéré.  Oubliée ou ignorée quelques temps, le chantier est désormais immense. Il fait appel à la solidarité nationale des acteurs économiques de demain, petits et grands.

C’est un enjeu national et pas n’importe lequel !

En collaboration avec des acteurs déterminés à intensifier la professionnalisation de la formation, IDEALTAUX a compris la nécessité d’aller repérer avec les enseignants les talents de demain.

Qui connait le mieux ses élèves :  le professeur de BTS ou le conseiller de Pôle emploi ?

« Naturellement, on n’aborde pas un sujet aussi délicat seul et sans grief. Les enseignants sont essentiels dans ce maillage. Je pense particulièrement à ceux qui évoluent en BTS ou DUT. Il y a des professionnels de l’éducation enclin à travailler avec le monde de l’entreprise. Ils sont enthousiastes et déterminés. C’est la technocratie qui les empêche d’être dans l’action » confiait Hugo Maurel, Président d’IDEALTAUX.

En faisant le choix de la professionnalisation, le courtier en Crédit immobilier s’engage et fera signer un premier contrat pro pour la rentrée de septembre.

Un contrat en Septembre, voire deux !

« Trois de nos salariés sont passés par cette voie d’excellence ! Ca fait quasi 10 ans qu’ils s’épanouissent et évoluent à toutes les strates de l’entreprise.  Je suis convaincu de la méthode. Les enseignants en font une belle publicité et le démontrent par leur investissement auprès des jeunes. Mais Ils ont besoin de l’entreprise et que les Lycées s’ouvrent un peu plus quand ils le demandent…auprès de leur hiérarchie féodale. Un Pays comme le notre ne peut pas se conforter dans des dualités et discussions de salons quand on parle de l’avenir de nos jeunes » renchérit Hugo Maurel. En colère, il n’ira pas jusque là… encore que le temps perdu ne se rattrape pas. « Je ne comprends toujours pas pourquoi la précédente mandature a cru utile de mettre un coup d’arrêt à l’alternance… »

Organismes consulaires, formateurs, enseignants, étudiants, parents et entreprises, c’est toute la cordée qui doit se mettre à l’œuvre pour sortir la jeunesse de cette épreuve.

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